ALPHONSE JACQUEL

un chercheur au service du paranormal

 

Selon les expériences qu'il raconte dans ses publications, Alphonse Jacquel semble confronté aux phénomènes paranormaux, depuis son enfance. A l'école, il savait quand le maître allait l'interroger. Il a toujours eu des rêves prémonitoires, et plusieurs sortes de faits spécifiques qu'il a vécus méritent l'attention.

Une aura de mystère

Jacquel a remarqué souvent qu'à la suite d'un pressentiment ou d'une prémonition de la rencontre d'une personne, il aperçoit d'abord un sosie de cette dernière, avant de la rencontrer effectivement.
 Autre fait étonnant, la rencontre très fréquente dans l'immeuble ou en ville d'une voisine avec laquelle justement il ne tient pas à se trouver, alors que ce n'est pas le cas des 13 autres familles de locataires.
 Lorsqu'il a besoin d'un objet quelconque, souvent il le découvre ou on le lui procure par hasard.
 Selon son état d'esprit, les événements se déroulent favorablement ou non. Une pensée détendue ou d'abandon, sans haine ni mauvaise humeur, ainsi que l'absence de peur, auraient des conséquences positives Il en serait de même du don de soi. Mais, Jacquel aurait été également victime du "ciel" et de l'adversité. Par exemple, dans ses écrits, il est souvent très gêné par un bruit intempestif.

Syndrome des marteaux-piqueurs

Jean Moisset a aussi été confronté à ce genre de nuisance qu'il appelle le syndrome des marteaux-piqueurs et perceuses électriques, défiant toute explication probabiliste.
 Encore un autre problème auquel s'est heurté Jacquel, il s'agit de celui des clefs qui disparaissent et sont retrouvées mystérieusement, comme si elles se dématérialisaient puis se rematérialisaient. Même observation pour des phénomènes de psychokinèse et de télékinésie. Un jour sur son bureau, une feuille de papier s'envole bizarrement et va s'infiltrer entre deux planches du parquet. D'après lui, il n'aurait pu réussir à le faire volontairement.

Rêve de camping au cimetière

C'est également un sujet synchronistique. Voici quelques exemples de ses coïncidences:
 Dans la nuit du 26 décembre 1987, je rêve que je fais du camping dans un cimetière. Quel rêve stupide et étrange ! Dans ce cimetière, j'ai peu de chance de trouver un endroit pour m'installer.
 Ensuite, un autre rêve. Je vois Riboud, un collègue de travail à la Poste.
 Le lendemain une amie assez handicapée me téléphone pour me demander de l'aider à reprendre son pot de fleurs au cimetière. Je remarque qu'il n'y a plus de place pour les fosses communes et sur la première tombe où je fixe mon regard, je lis : Riboud !

Mort et ressuscité

Dans les avis de décès, le journal annonçait celui de M. Lallemand, fabricant de pâtes à Chamoux, en Savoie. C'était un de mes clients auquel je vendais des lubrifiants. Je l'estimais beaucoup, gentil, fidèle, ne faisant jamais d'histoires. Ce décès m'avait fait de la peine.
 La semaine suivante, je me rendais à Paris. En entrant dans la bouche de la station de métro, que vois-je sortir ? M. Lallemand ! "Tiens le marchand d'huile", me fait-il aussitôt. Bien sûr, je n'ai fait allusion à rien. Je lui ai manifesté ma surprise de le voir là et lui ai serré la main en lui disant "à bientôt".
 J'ai eu plus tard l'explication : M. Lallemand avait un frère dont j'ignorais l'existence. Etant dans l'usine, jamais au bureau, n'ayant jamais eu affaire à lui, j'étais persuadé qu'il n'y avait qu'un seul Lallemand.

Prêts éventuels croisés.

Coïncidence curieuse. Le vendredi 13/9/1996, j'écrivais à Chantal pour l'informer que j'étais prêt à lui envoyer 10.000 F pour une aide dont elle pourrait avoir besoin.
 Le lendemain, je recevais une lettre d'une ex-amie se trouvant près de Marseille qui ne m'avait pas écrit depuis 4 ans. C'était pour me demander si je pouvais lui envoyer 10.000 F dont elle avait besoin. Sa lettre était datée du 13 septembre.

Étranges rencontres en Bulgarie

Avec mon amie bulgare nous avions organisé une sortie à 150 km de Sofia. Par hasard, on rencontre un homme qui avait séjourné en France avant guerre et la conversation s'engage avec lui :
 - Dans quelle région étiez-vous ?
 - A Grenoble, où je faisais mes études de médecine et que j'ai quitté en 39 à la déclaration de guerre pour rentrer dans ma patrie.
 - C'est justement là que j'habite ! Et dans quel quartier logiez-vous ?
 - Ce n'était pas à Grenoble même, mais dans la banlieue, un petit village à 6 km de la ville. A Eybens.
 - A Eybens : c'est justement là que j'habitais quand je suis venu m'installer en Dauphiné. Et dans quelle rue étiez-vous ?
 - C'était sur la place.
 - Moi aussi. Et où ?
 - J'avais une chambre au dessus du restaurant Boudin.
 - Et moi chez les Chevally qui tenaient le bureau de tabac à côté, et j'avais également ma chambre au premier étage. Donc, nous dormions côte à côte, séparés juste par un mur puisque nos chambres donnaient sur la place.
 - Nous avions tous deux 25 ans ! Que de fois avons nous dû nous croiser et certainement bavarder ensemble au café Boudin, une famille sympa qui m'avait en amitié.
 Si à ce moment là, on nous avait dit que 30 ans plus tard, dans le vaste monde, nous allions nous rencontrer sans nous chercher...
 Toujours en Bulgarie, j'ai fait connaissance avec une dame professeur polonaise qui était également en vacances à Sofia. Elle avait une amie chère qui habitait à Grenoble. Justement près de la maison où je demeurais quand j'ai quitté Eybens pour m'installer à Grenoble dans une petite rue tranquille, rue des Charmilles. Mon appartement était situé en face où maintenant loge cette dame, également polonaise.
 J'ai voulu voir cette personne pour la saluer de la part de son amie. Elle a tellement été suffoquée par mon histoire qu'elle s'est d'abord montrée méfiante et incrédule, me prenant pour un espion qui cherchait à la faire parler !
 

LES OUVRAGES D'ALPHONSE JACQUEL

PAR-DELÀ LA MÊLÉE 1935/1945

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LE PARANORMAL

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MÉDECINE ? FLÉAU DE L'HUMANITÉ

Une étude sur les méfaits de la médecine (8 euros franco).
 

RETOUR EN EDEN

Ce n'est ni la religion, ni la politique, ni la science, ni la philosophie, ni la philanthropie qui apporteront la paix, la liberté et le bonheur sur la planète terre. Ce sera autre chose. (20 euros franco).
 

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4, rue Paul Bourget F-38100 GRENOBLE Tél/Fax : 04.76.46 48 79


 
 

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